Marine
Paul Verlaine
Palpite sous l’oeil
De la lune en deuil
Et palpite encore,
Tandis qu’un éclair
Brutal et sinistre
Fend le ciel de bistre
D’un long zigzag clair,
Et que chaque lame,
En bonds convulsifs,
Le long des récifs
Va, vient, luit et clame,
Et qu’au firmament,
Où l’ouragan erre,
Rugit le tonnerre
Formidablement.
en quelques vers seulement on entend le ressac , le claquement des vagues tempétueuses, on se pelotonne sous la couette, on attend que çà passe....
joli ! bonne journée
RépondreSupprimerun poème que je ne connaissais pas-
RépondreSupprimerbelle description de la mer en furie !! quel talent !!
bonne journée- ici temps sec enfin- bisous-
Coucou... ah je crois que ça va marcher... Oui un écrit bien vivant, on entend gronder la nature en colère, merci, bises
RépondreSupprimeroui un très beau poème de Verlaine. bises et belle journée
RépondreSupprimerC'est bien de le relire ce poème !
RépondreSupprimerUne belle marine en poésie, cela nous transporte au pied de la falaise.
RépondreSupprimerBonne soirée
Bises
Magnifique ! Bonne fin de ce jour Evelyne ! Bises♥
RépondreSupprimerBonjour Mamazerty, magnifique ce poème. Bonne journée !
RépondreSupprimerbeau texte ! bonne journée
RépondreSupprimerformidable et encore meilleur clamé à haute voix !
RépondreSupprimerBonsoir Evelyne. C'est un beau poème que tu nous fais découvrir. En le lisant je m'imagine à Quiberon. Bisous
RépondreSupprimerTrès joli poéme - Bisous
RépondreSupprimerbecause j'étais fatiguée il y a quelques temps que je en suis pas venue chez toi ...j'adore ta maison ! super
RépondreSupprimerbisous
Ah! Verlaine...
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