Babelio

lundi 31 décembre 2018

de notre part à tous les deux, Gustave et moi

J'ai choisi cette vue de la forêt de Fontainebleau,  œuvre de Courbet (1855) puisque c'est de là que je verrai naitre 2019, pour vous présenter mes voeux pour la nouvelle année,qu'elle vous gâte ,vous réchauffe le coeur et illumine votre âme.

Bonne année à tous.

dimanche 23 décembre 2018

ACTUALISATION=Maria Farantouri,Mikis Theodorakis et Georges Moustaki,dédié à Renée


 Article dédiée à Renée
http://envie2.be/kefalonia-%ce%ba%ce%b5%cf%86%ce%b1%ce%bb%ce%bb%ce%bf%ce%bd%ce%b9%ce%ac-juin-2018-13-fiskardo-3/
 que la Grèce fascine et qui partage avec nous cet amour,elle face lumineuse ,moi ce jour face très sombre d e l'heure des colonels et des supplices des opposants...


Curieux article de souvenirs d'époques tellement effrayantes que celui que je vous propose ici en cette avant veille de Noël.
J'écoutais Maria Fantouri sur Youtube,pour en savoir plus sur cette chanteuse grecque très engagée politiquement et une des favorites de Théodorakis vous pouvez aller voir l'article à son nom sur Wikissaitout
J'écoutais cette chanson superbe et tellement poignante,sur les femmes des camps de la mort(personne ne savait qu'elle avait été si belle), si vous voulez une traduction de l'anglais sous titré je peux le faire après les fêtes en Janvier^^


ACTUALISATION:regardez le com de Renée, elle nous en offre la traduction, merci bien Renée, tu es adorable^^ 


Du coup me dis je , je vais aller écouter autre chose d'elle que je ne connais pas encore...Et par la magie de Youtube j'entends çà:

Eimaste Dyo, Eimaste Treis, Eimaste Hilioi Dekatreis!(imaste dio)


mais je connais çà!!!j'ai connu çà!!!J'avais 14-15 ans....
quelle est cette chanson dont je me rappelle seulement les premières paroles en français?
Je l'ai retrouvée, et je me rappelle maintenant que déjà quand j'étais fort jeune, l'interprétation si distanciée de Moustaki m'énervait...et bien elle m'énerve toujours autant.(en plus je déteste le son de la flûte)..J'aime qu'on se mette en colère quand on dénonce les persécutions mais j'avoue qu'il faut un sacré tempérament pour réussir à en "parler "comme Georges et même un grand courage:

 Paroles:
Nous sommes deux Nous sommes deux Huit heures vont bientôt sonner. Eteins la lampe, le gardien frappe Ce soir ils reviendront nous voir. L'un va devant, l'un va devant Et les autres suivent derrière Puis le silence et puis voici La même chanson qui revient L'un va devant, l'un va devant Et les autres suivent derrière Puis le silence et puis voici La même chanson qui revient Il frappe deux Il frappe trois Il frappe mille vingt et trois Tu as mal, toi Et j'ai mal, moi Qui de nous deux a le plus mal? C'est l'avenir qui le dira Nous sommes deux Nous sommes trois Nous sommes mille vingt et trois Avec le temps, avec la pluie Avec le sang qui l'a séché Et la douleur qui vit en nous Qui nous transperce et qui nous clou Nous sommes deux Nous sommes trois Nous sommes mille vingt et trois Avec le temps, avec la pluie Avec le sang qui l'a séché Et la douleur qui vit en nous Qui nous transperse et qui nous clou. Notre douleur nous guidera Nous sommes deux Nous sommes trois Nous sommes mille vingt et trois


Du coup j'ai continué mes investigations et j'ai trouvé Mikis Theodorakis et Moustaki travaillant sur cette chanson, j'adore!le calme de Moustaki, la fulgurance passionnée de Théodorakis...Tous les deux géniaux...

(si vous ne voulez voir que la genèse de cette chanson là c'est à 4mn30) 



Et bien...Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter de belles fêtes, j'espère ne pas avoir trop plombé l'ambiance mais une chose est sûre, grâce à la nature humaine le pire est toujours à venir!Ma théorie personnelle qui n'engage que moi:C'est pour celà que l'Homme a inventé Dieu, pour se donner de l'espoir,espoir qu'il ne trouve pas dans son essence même...

mardi 18 décembre 2018

Le mal, de Rimbaud pour le poème du mardi chez Lydie

à propos des horreurs de la guerre de 1870,exprimant ainsi sa révolte impuissante,Rimbaud nous livre la violence de ces vers

 

Le mal

Arthur Rimbaud
Tandis que les crachats rouges de la mitraille
Sifflent tout le jour par l’infini du ciel bleu ;
Qu’écarlates ou verts, près du Roi qui les raille,
Croulent les bataillons en masse dans le feu ;


Tandis qu’une folie épouvantable broie
Et fait de cent milliers d’hommes un tas fumant ;
– Pauvres morts ! dans l’été, dans l’herbe, dans ta joie,
Nature ! ô toi qui fis ces hommes saintement !…


– Il est un Dieu, qui rit aux nappes damassées
Des autels, à l’encens, aux grands calices d’or ;
Qui dans le bercement des hosannah s’endort,


Et se réveille, quand des mères, ramassées
Dans l’angoisse, et pleurant sous leur vieux bonnet noir,
Lui donnent un gros sou lié dans leur mouchoir !

;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;


c'était ma dernière participation au poème du mardi de Lydie, pour 2018 qui s'en vient mourir bientôt.Je vous dis donc pour cette communauté:à 2019 et joyeuses fêtes à tous!

samedi 15 décembre 2018

Mère et enfant pour le tableau du samedi de Lydie


Mère et enfant de Pablo Picasso
Huile sur toile
100,3 x 73,6
1901

J'aime la forme utérine de la mère et son enfant ainsi enlacés à ne former encore qu'un oeuf.
J'aime aussi l'arrière plan qui me fait penser à des tableaux italiens plus anciens où le paysage était représenté derrière la figure centrale.

trouvé ici: https://www.eternels-eclairs.fr/images/peinture/tableaux/pablo-picasso-HD/pablo-picasso-mere-et-enfant.jpg

vendredi 14 décembre 2018

Ах ты, степь широкая исп. хор имени Александрова

version chantée par les choeurs d e l'armée rouge avec des graves puissantes absolument sublimes
non je ne traduirai pas le titre,je ne saurais, il y est question de steppe sauvage.



samedi 8 décembre 2018

un peu d e coquinerie de bon aloi pour le tableau du samedi de Lydie


Jeux de miroirs lascifs pour voyeur/se ,on ne sait qui se joue de la volupté de l'autre dans ce jeu de je te montre/je ne te montre pas...
Tout çà sur un bien petit panneau...
Comme quoi la taille,ce n'est pas ce qui compte...
oups, je m'égare!
le printemps, sûrement!



Georges Croegaert (1848 – 1923,peintre belge)."Femme dans son boudoir"-1888
Technique/matériaux huile sur panneau de bois
Dimensions Hauteur : 23 cm ; Largeur : 18 cm 




 tableau trouvé sur twitter...et les explications et image sur Wiki

mercredi 5 décembre 2018

Hegoak pour chanter avec




J'ai déjà mis une fois cette chanson sur mon blog ,je réitère avec une version franco basque permettant d e chanter avec la musique et de comprendre la beauté simple et la profondeur des paroles sur ce qu'est aussi la LIBERTE que l'on donne à un peuple ou à un individu...(quand il n'y a rien sur l'écran il faut dire lalalala ou bien ouououou)