dans les malles de mamazerty

   À l'espace culturel Paul Bedu de Milly la Forêt,un certain nombre de tableaux ou dessins célèbres,je vous en parlerai lorsque j'y serai allée. (NB c'est juste à côté de chez moi ,il faut savoir que ma nouvelle demeure est traversante,deux portes d'entrée opposées donnant donc sur des lieux opposés. J'ai voulu aller voir les expos vendredi et j'ai été incapable de retrouver le centre culturel situé à 300 m. J'ai deux hypothèses : soit reconnaître que je n'ai aucun sens de l'orientation....mais Milly la Forêt,ce n'est pas non plus New York....soit plutôt  ,pour une raison inconnue,le centre a été déménagé pendant la nuit....ce que je suis assez encline à croire,mais par qui et pourquoi ? J'enquête...) Aujourd'hui je veux rendre hommage à un tableau très célèbre peint en 1910 par Boronali. Il a même été exposé en 2016 au grand palais à Paris. Depuis septembre il est parti à Bruxelles pour figurer dans une expo qui m'a bien l'air d

  Article rédigé en pensant à Brigitte dont c'est l'anniversaire,qui aurait savouré le trajet, elle qui aime tant la nature Parce que j'ai un besoin vital d'arbres,parce que je suis amoureuse du massif forestier de Fontainebleau,parce que l'automne est ma saison préférée,on m'a offert une balade en voiture de Milly la Forêt vers Fontainebleau. Ça peut paraître Curieux de préférer la voiture à une bonne marche. C'est juste que le point de vue est totalement différent. En voiture on ressent très fortement cette impression de massif, suivant la configuration de la route,on a une vue plongeante sur l'immensité,on est englouti comme protégé par la perception que l'on a du nombre,de la densité,à pied on est immergé,on fait corps,certes les muscles très rapidement nous indiquent les déclivités du terrain mais le regard ne peut pas cerner l'immensité, c'est plutôt du corps à corps intime. Ces deux points de vue se complètent. Hier nous avions par mom

 Aux confins d'une matinée d'automne,bien floue la frontière entre l'ombre et la silhouette. Je regarde. À la fenêtre c'est le dernier spectacle avant la tombée de rideaux. Derniers soleils Dernières feuilles. La vie qui lutte encore contre l'engourdissement.

 Comme le chantait le poète,il me semble renaître en moi l'envie d'avoir envie,au fur et à mesure que les cartons sont vidés et le bazar rangé,dans mon nouvel univers extrêmement calme et bienveillant. Pour le moment rien qu'une composition qui oscille entre les couleurs d'automne et un orange solaire. Pommes d'ambre, rondelles d'orange séchées, quelques marrons et feuilles... Odorant et éphémère. Simplissime. Mettre sa marque. Prendre ses marques...