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Articles

l'amour et les forêts

C'est le titre d'un livre d'Eric Reinhardt que j'ai emprunté récemment et qui m'aura beaucoup marquée... au point que malgré tout ce que j'ai lu de beau, bien écrit, intéressant, surprenant,(et je suis une lectrice compulsive!) je pense que ce sera mon livre de l'année,ô combien dérangeant! j'ai lu /écouté beaucoup sur les manipulations, manipulateurs (habitude de lire par thématiques) parce que c'est un sujet sensible pour moi et dès que j'ai commencé à lire ce livre, oumpf...j'ai été prise entre deux feux:la superbe écriture passionnelle de Reinhardt(mais comme il écrit bien sur les femmes,ce type!) et le sujet qui me fait froid dans le dos... au point que bizarrement , j'ai lu le premier chapitre(çà ce n'est pas bizarre) et ensuite ,voyant s e profiler une histoire de manipulation dans un couple,assez prévisible mais néanmoins pénible, je me suis mise à piocher un chapitre ici, un autre là, dans le désordre, histoire d e diminu

Glenn Gould

Cet homme était un génie.Sur cette video ,il est extrêmement émouvant,j'arrive presque à en oublier la musique pour me concentrer sur...sa concentration. Il est habité Il est chaque note! Je suis toujours bouleversée quand je rencontre une personne qui a une passion dévorante,à la fois parce que c'est émouvant, grandiose,admirable, mais aussi parce que c'est un feu intérieur destructeur qui n'épargne pas non plus l'entourage. et en prime une photo de beau gosse de G.G jeune, pour les personnes qui préfèrent le pianiste au piano ne me remerciez pas, tout le plaisir était pour moi! (Mais je le préfère en corps à corps avec son piano dans cette transe qui est souffrance et jouissance).

un poême tortueux pour la poésie du mardi chez Lydie

Le thème de ce mardi choisi par jak est ",sinueux"tortueux" C'est grâce à Ted le magnifique@Ed68358655  https://twitter.com/Ed68358655 que j'ai lu ce poème de Cendrars, en le découvrant vous comprendrez sûrement ce que je lui ai trouvé de tortueux. L'ai je aimé? non mais il m'a interloquée il m'a même choquée mais peut être l'ai je pris trop au mot et du coup ne m'est pas indifférent En tout cas merci au twitteur de m'avoir parlé de Cendrars qui n'est pas un poète que je connais bien et d'un bel album de Lavilliers. J'en reparlerai,de Lavilliers, mardi prochain avec un poème que Ted (qui est magnifique )a partagé sur le réseau d e l'oiseau bleu. (moi je crois que quand on aime il faut rester, profiter partager et si le besoin d e partir est trop fort,on ne part pas seul et puis c'est tout!mais bon, chui une nana romantique, ce que Cendrars n'était pas-c'était mon explication d e texte du jour,

Extérieur d'une errante sans boussole ,pour le défi de Khanel

il était une fois une personne rêveuse qui partait de bon matin pour, se dit elle, 3/4 d'heure de marche. Elle fit son tour habituel de petit bois,elle en connait tous les chemins par coeur , (c'est un tout petit bois)elle pourrait y marcher les yeux fermés (ce qui serait débile mais pas moins que ce qui va suivre) Dans ce petit bois il y a des arbres:jusque là tout est normal Et de l'eau, mais pas trop,la promeneuse est contente car elle aime par dessus tout les endroits où il y a des arbres et de l'eau Elle a même son endroit à elle, avec son siège et son arbre fort et généreux,aux racines profondes et stables, quand elle veut méditer  (Zack aussi a son siège mais apparemment il ne veut pas qu'on le lui vole) Elle part dans l'autre petit sous-bois, escaliers en rondins, petit pont;elle sait bien, la marcheuse qu'elle ne doit pas aller dans les bois de ce côté là car elle finira par déboucher dans le village de la Rive

musique hongroise tzigane

certains savent déjà que j'adore (il n'y  pas un mot plus fort?) la musique tzigane hongroise-et aussi la langue hongroise,que j'ai découverte par l'intermédiaire de la musique et aussi d'un bout d e branche quelque part sur mon arbre généalogique...d'ailleurs à défaut d e trouver un vrai prof d e hongrois dans mon secteur j'ai prospecté sur le net et  commence un début d'apprentissage,j'espère avancer un minimum (voire, un maximum) mais sans locuteur en face, çà va être moins vivant. Cette musique ci est répétitive et donc très hypnotique.

Eugen de Blaas pour le tableau du samedi

J'avais déjà, évidemment, vu de ses portraits de femmes, sans savoir quel en était le peintre. Pour en lire plus sur c e peintre italien (autrichien?) allez sur Wiki,notre bon ami. https://fr.wikipedia.org/wiki/Eugen_de_Blaas Le tableau que j'ai choisi s'appelle "contemplation"- La transparence du châle, les détails de la broderie,les plis de cette jupe à la superbe couleur,les petits friselis sur le front ,les positions des mains et les bijoux simples et fins sont extrêmement sensuels.Cette jeune femme est très pensive , contrairement à beaucoup de ses autres sujets,midinettes,coquettes, séductrices et vaguement chipies la galette... Samedi prochain,de nouveau un de Blaas qui me rappelle mon adolescence...

Rêves d'amour par Cziffra

Une tante érudite et mélomane m'avait offert un 33T de Cziffra quand j'étais enfant ( et non, c e n'était pas un enregistrement MP3 sur une clé USB ). Cette interprétation est superbe,ce type était vraiment un virtuose. un com sur une de ses interprétations (sur Youtube) disait "je me demande combien il a de doigts",c'est vraiment çà, une extraordinaire fluidité et des interprétations très personnelles... c'était mon petit moment tendresse du jour que je dédie à mon petit fils de 9 ans à la maison ce matin, et qui joue déjà bien du piano .