"En mai, fais ce qui te plait, dit Khanel mais pour mon défi du mois,mets nous une chanson..."
En désespoir d e cause j'allais vous mettre la version Lavilliers (c'est une de ses chansons) et Balbino, après avoir cherché la version vue à la télé et que je ne trouvais pas...Mais la voici dénichée en streaming sur le site de FR3 où je l'avais entendue et vue il y a un peu plu d'un mois.
J'aime la fraicheur un rien désespérée et sensuelle de l'interprétation qui m'a permis de revisiter et de me réapproprier une chanson au très beau texte....je dis bravo, jeune fille....et bravo Bernard Lavilliers, artiste oh combien particulier.
quand j'entends les paroles je ne suis pas loin des larmes....
http://www.france3.fr/emissions/du-cote-de-chez-dave/videos/natalia_doco_-_les_mains_dor_13-03-2016_1087436
Un grand soleil noir tourne sur la vallée
Cheminée muettes - portails verrouillés
Wagons immobiles - tours abandonnés
Plus de flamme orange dans le ciel mouillé
On dirait - la nuit - de vieux châteaux forts
Bouffés par les ronces - le gel et la mort
Un grand vent glacial fait grincer les dents
Monstre de métal qui va dérivant
J'voudrais travailler encore - travailler encore
Forger l'acier rouge avec mes mains d'or
Travailler encore - travailler encore
Acier rouge et mains d'or
J'ai passé ma vie là - dans ce laminoir
Mes poumons - mon sang et mes colères noires
Horizons barrés là - les soleils très rares
Comme une tranchée rouge saignée rouge saignée sur l'espoir
On dirait - le soir - des navires de guerre
Battus par les vagues - rongés par la mer
Tombés sur le flan - giflés des marées
Vaincus par l'argent - les monstres d'acier
J'voudrais travailler encore - travailler encore
Forger l'acier rouge avec mes mains d'or
Travailler encore - travailler encore
Acier rouge et mains d'or
J'peux plus exister là
J'peux plus habiter là
Je sers plus à rien - moi
Y'a plus rien à faire
Quand je fais plus rien - moi
Je coûte moins cher - moi
Que quand je travaillais - moi
D'après les experts
J'me tuais à produire
Pour gagner des clous
C'est moi qui délire
Ou qui deviens fou
J'peux plus exister là
J'peux plus habiter là
Je sers plus à rien - moi
Y'a plus rien à faire
Je voudrais travailler encore - travailler encore
Forger l'acier rouge avec mes mains d'or
Travailler encore - travailler encore
acier rouge et mains d'or
En désespoir d e cause j'allais vous mettre la version Lavilliers (c'est une de ses chansons) et Balbino, après avoir cherché la version vue à la télé et que je ne trouvais pas...Mais la voici dénichée en streaming sur le site de FR3 où je l'avais entendue et vue il y a un peu plu d'un mois.
J'aime la fraicheur un rien désespérée et sensuelle de l'interprétation qui m'a permis de revisiter et de me réapproprier une chanson au très beau texte....je dis bravo, jeune fille....et bravo Bernard Lavilliers, artiste oh combien particulier.
quand j'entends les paroles je ne suis pas loin des larmes....
http://www.france3.fr/emissions/du-cote-de-chez-dave/videos/natalia_doco_-_les_mains_dor_13-03-2016_1087436
Un grand soleil noir tourne sur la vallée
Cheminée muettes - portails verrouillés
Wagons immobiles - tours abandonnés
Plus de flamme orange dans le ciel mouillé
On dirait - la nuit - de vieux châteaux forts
Bouffés par les ronces - le gel et la mort
Un grand vent glacial fait grincer les dents
Monstre de métal qui va dérivant
J'voudrais travailler encore - travailler encore
Forger l'acier rouge avec mes mains d'or
Travailler encore - travailler encore
Acier rouge et mains d'or
J'ai passé ma vie là - dans ce laminoir
Mes poumons - mon sang et mes colères noires
Horizons barrés là - les soleils très rares
Comme une tranchée rouge saignée rouge saignée sur l'espoir
On dirait - le soir - des navires de guerre
Battus par les vagues - rongés par la mer
Tombés sur le flan - giflés des marées
Vaincus par l'argent - les monstres d'acier
J'voudrais travailler encore - travailler encore
Forger l'acier rouge avec mes mains d'or
Travailler encore - travailler encore
Acier rouge et mains d'or
J'peux plus exister là
J'peux plus habiter là
Je sers plus à rien - moi
Y'a plus rien à faire
Quand je fais plus rien - moi
Je coûte moins cher - moi
Que quand je travaillais - moi
D'après les experts
J'me tuais à produire
Pour gagner des clous
C'est moi qui délire
Ou qui deviens fou
J'peux plus exister là
J'peux plus habiter là
Je sers plus à rien - moi
Y'a plus rien à faire
Je voudrais travailler encore - travailler encore
Forger l'acier rouge avec mes mains d'or
Travailler encore - travailler encore
acier rouge et mains d'or
Bonjour Evelyne. C'est une très belle chanson de Bernard Lavilliers. Quand j'écoute ce chanteur, sa voix et ses paroles me donnent des frissons. Bisous
RépondreSupprimerun texte très fort !
RépondreSupprimereffectivement.
GROS BISOUS
et bon 1er mail mama
cricket
Le texte, sa voix.... Du bonheur!!!!
RépondreSupprimerDésolée pour le retard mais je n'ai pas ouvert l'ordi de toute la journée ...
RépondreSupprimerGros bisous et voici pour toi : http://www.joliecarte.com/cartes/4775/video-carte-virtuelle-1er-mai
Coucou Evelyne... C'est vrai que Lavilliers on aime ou pas, il a son genre comme on dit et ma foi, des choses fort bien dites, merci à toi... ;-) bonne soirée, bises
RépondreSupprimerOh ! Quel texte touchant, en effet, Evelyne !
RépondreSupprimerBonne fin de ce dimanche et bon début de semaine !
Bisous♥
merci pour ce joli partage ! je te remercie ! bonne journée
RépondreSupprimerUn poète qui ne change pas de cap Mr Lavillier. Utopia reste d'actualité.
RépondreSupprimerOui, très émouvant...
RépondreSupprimerj'aime ce chanteur, ses chansons ont toujours un sens profond, merci pour ce partage
RépondreSupprimerbonne journée
danièle
Florence - Testé pour vous
RépondreSupprimerCoucou Evelyne...Très beau texte...mais travailler encore ? Euh non merci...mais au travail comme à la retraite, on gagne des clous, ça c'est un fait ! :-( Du désespoir qui j'espère ne reflète pas ton état d'esprit hein ?
Comment vas tu ? Ca y est, je suis rentrée à ma maison...et il y a du soleil, des fleurs, de la chaleur, des oiseaux...puis des manifs à Toulouse...alors je ne vais pas m'endormir et je vais rejoindre les cortèges...oui, oui, la lutte continue, pour exister, ne pas se faire broyer :-) Je sais, je sais, je manifeste aussi pour toi...si, si, un jour, je ferai un panneau indiquant que tu es avec moi... ;-)
Alors à Agde...mon père, bof bof...il n'arrive pas à remonter la pente et on ne sait pas pourquoi...dur dur d'avoir 83 ans ? oui, sans doute...puis le contre coup de l'opération qu'il a subie voilà quelques mois..mais je croise les doigts et je suis sure que bientôt tout va bien aller :-) :-)
Bises Evelyne...dis, je crois que tu as bientôt de la visite hein ? ;-) :-) N'oublie pas de t'habiller...couvre moi ton bikini de suite si tu ne veux pas faire fuir ta visiteuse ;-)
idem pour moi cette chanson me file des frissons
RépondreSupprimerFlorence - Testé pour vous
RépondreSupprimerBonjour Evelyne...hier, article qui t'a "réjouit", aujourd'hui, article qui te fera grincer des dents...si, si, ou la vidéo va te faire bondir et claquer des dents (à défaut de pouvoir claquer des têtes) ou mes mots te feront grincer des quenottes...mais gaffe à ne pas trop grincer hein..n'use pas ! :-)
Comment vas tu belle dame ? Es tu en pleine forme ? La dame belle(ge) ne t'a pas trop usée ? ho ho, je parlais de marche, de rigolades, de parlottes ;-) ;-)
Je t'ai écrit mail mais sur autre sujet :-( Bises Evelyne et à très très bientôt